Ces mille et un réseaux que courtisent les candidats
C'est le titre d'un article du figaro dont les premières lignes sont consacrées aux francs-maçons ( pourtant en baisse au "hit-parade de l'influence":
Les réseaux, amicales et autres fraternelles sont jugés plus efficaces sur le plan électoral que les ralliements de personnalités.
LES FRANCS-MAÇONS ont été très tôt
l'objet de toutes les attentions des candidats, tradition
française oblige. Lors des précédentes campagnes
présidentielles, les obédiences (quinze en tout) avaient
organisé ce qu'elles appellent des « tenues blanches » pour auditionner les principaux protagonistes.
Cette fois, comme l'explique Alain Bauer, ancien grand maître du Grand Orient de France, qui se définit comme un
« ouvreur de portes »
pour le candidat de l'UMP, les loges ont décidé de
recevoir les impétrants dans un cadre informel. 800 personnes
ont participé au dîner-débat avec Nicolas Sarkozy,
mi-février, au Sofitel-Saint-Jacques. 450 ont dialogué
avec François Bayrou début mars.
Quant à Ségolène Royal, « elle n'a pas daigné répondre à l'invitation », explique Alain Bauer.